Au sujet de Lucas Evans

Penchée sur ses parchemins, Elizabeth n'attendait pas de visite. Pas d'élève convoqué, et il était rare que les élèves frappent spontanément à sa porte. Elle repoussa les parchemins sur lesquels elle travaillait.
-Entrez.
Elle vit arriver Avery.
-Bonjour Fendon. Qu'est-ce qui me vaut vote visite ?

Bonjour Lizbeth!!
Il posa sa cape et s'assit en face de Lizbeth, il venait d'apprendre sa nomination en tant que Directrice Adjointe de Poudlard.
Tout d'abord, je tiens à vous félicité pour votre nomination au poste de Directrice Adjointe!! Bonne chance!!
Avery n'avait ni sourire, ni rancoeur, il était dans son état naturel.

Elizabeth sourit.
-Merci Fendon. C'est en effet une lourde responsabilité. Je m'en acquitterai d'une manière qui je l'espère conviendra au Maître. Alors dites-moi, je suppose que vous n'êtes pas venu ici simplement pour me féliciter et je crains le pire. Seriez-vous venu voir la directrice de Voldor par hasard.
Elle avait dans les yeux une lueur presque désolée : elle savait l'insupportable comportement des élèves de Voldor et soupçonnait qu'une fois encore, ils s'étaient fait remarquer.

En effet, il n'était pas là pour parler principalement du nouveau poste de Lizbeth
Et bien figurez-vous que hier, Monsieur Lucas Evans, un élève de votre maison ne sait pas présenté à la visite médicale!!
L'ayant affiché sur le panneau d'affichage, je pense qu'il faut faire quelque chose!!

Le visage d'Elizabeth se crispa. Lucas Evans... encore !
-Lucas Evans... un pur prototype de Voldor. Insolent et suffisant, mais sans capacités qui justifie tout cela. Je m'occuperai de cela Fendon, comptez-sur moi. J'ai déjà consigné cet élève, suite à une demande du professeur Loncourt. Il va finir par passer son année scolaire en salle de retenue, voilà tout.

Je vous fait confiance Lizbeth!!!
Il se leva et remit sa cape à l'endroit.
Bien, je vous quitte mademoiselle, au revoir Lizbeth!!

Elizabeth lui sourit.
-Aurevoir Fendon.
Elle resta ensuite pensive. Lucas Evans faisait encore partie de ces élèves pénibles dont il était difficile de tirer quoique ce soit. Il lui faudrait reprendre à nouveau les choses en main à cet égard. Elle se remit à son travail.