Remus

*Arrive avec sa lettre.

Mon cher Remus,

Comment va tu? Moi sa va a par un beau bleu derrière le dos du au choix de ma répartition, mais ne tant fais pas tout va bien, j'espère que toi aussi, tu me manque beaucoup.

Avec toute mon affection

Angélique Séléne Black.

*Attache la lettre a la patte d'une chouette.*

Un hibou vient d'arriver en réponse à votre courier. L'enveloppe a déjà été ouverte par les services de surveillance du Seigneur des Ténèbres lorsque vous récuperez la lettre.

*Elizabeth était sur le point de sortir de la volière lorsqu'elle entendit des pas monter les escaliers et se rapprocher.*

*Regarde le professeur les yeux flamboyant*

-DE QUEL DROIT AVEZ VOUS OUVEZ MON COURIRER? CE QUE JE RECOIS NE VOUS REGARDE PAS!

*Et tellement furieuse qu'elle pourrait commetre un peurtre*

*Elizabeth réagit aussi vite que la jeune fille était entrée dans le volière. Elle prononça le sortilège d'une vois forte et impérieuse, pointant Angelique de sa baguette qu'elle tenait à la main.*

-SILENCIO !
Pour qui vous prenez-vous Mle Black ? Qui vous autorise à me parler sur ce ton ? Vous n'êtes pas dans votre petit manoir bien confortable ici et vous ne vous adressez pas à vos ridicules amis ! Je suis votre professeur et j'ai tout pouvoir sur vous dans l'enceinte de cet établissement.
*Elle regarda la jeune fille avec un sourire cruel*
-Vous avez peut-être cru que les choses se passeraient comme dans l'allée des embrumes ? Mais vous vous trompez d'endroit. Vous n'êtes pas chez vous ici et les choses ne se passent pas comme vous le voulez.

*Elle baissa sa baguette, tout en restant à l'affut, attentive au moindre geste d'Angelique et la regarda. La fureur qui l'emplissait était palpable et il lui sembla que de toutes façons, la jeune fille ne faisait rien pour la masquer*
-je vous ai déjà dit qu'il y avait des règles à respecter. Ici, la règle est que votre courier n'est jamais privé. Vous le saviez au moment même où vous avez envoyé votre lettre.

*Elle ne savait pas que le courier était ouvert, tremble de fureur et ne fait rien pour dissimuler le dégout que cette femme lui aspire, la regarde en la conparent a une horrible et vieille gargouille, ce qui lui donne envie de vomir, hausse les épaules et prend un air qui veux dire*

Cause toujour tu m'interesse.

-Un dernier mot encore : vous ignorez totalement la raison pour laquelle je suis ici et vous lancez des accusations à tort et à travers. Rien ne vous prouve que j'ouvre les couriers.
*Elle eut un sourire en coin*
-Il est possible que je le fasse... mais mes attributions à Poudlard ne vous regardent en aucune manière en dehors de mon cours que vous allez suivre.
*Elle fit un léger mouvement de sa baguette, défit le sort de Silencio et ajouta d'une voix sèche.*
-Et maintenant, disparaissez !