Retenue d'Angélique Black

Tom ouvrit la porte de la salle de retenue et entra dans la petite pièce. Une semi-obscurité régnait dans cette salle, qui empestait le renfermé. Tom agita sa baguette pour faire apparaître une table et une chaise peu confortable. Miss Black n'était pas là pour prendre ses aises. Il ressortit ensuite de la pièce pour attendre l'élève fautive dans le couloir où l'odeur était plus supportable.
*ne me faites pas attendre, Miss Black...* songeait-il avec un sourire mauvais, tout en faisant les cent pas devant la porte de la salle.

Suivant le professeur Angélique gardait un visage calme et impassible, bien qu'elle n'avait qu'une envie egorger le professeur elle respira profondement en restant calme, repoussant une mèche de ses cheveux qui lui tombait devant les yeux elle entra dans la pièce suivant le professeur.

-Je suis la monsieur. Que dois-je faire?

Tom accueillit Angélique avec froideur. Il savait bien qu'elle devait être furieuse, mais peu lui importait. Il ordonna, en désignant la chaise:
-Asseyez-vous. Je vous ai préparé un sujet de dissertation que vous allez traiter... vous avez deux heures. Je veux au moins vingt centimètres de parchemin. Voici le sujet.
Il laissa tomber sur la table un petit morceau de parchemin sur lequel il avait écrit:

Citation :

La volonté d'apprendre se manifeste en premier lieu par le silence et l'obéissance. Argumentez.

-Voilà, Miss Black, vous avez deux heures. Si vous avez terminé avant, vous pouvez ajouter un paragraphe sur la stupidité qui consiste à pleurnicher sur des souris d'expérience... Ah, j'oublais. Ne sortez pas de plume et d'encre, vous n'en aurez pas besoin... Tenez.
Il lui donna une plume noire à l'extrémité étonnamment pointue, et quitta les lieux.


[hj 20 cm=20 lignes]

A l'issue des deux heures, Tom entra dans la salle d'un pas nonchalant, et jeta un coup d'oeil satisfait à Angélique. Sa main était en charpie, et le bureau était tout luisant de sang... Il prit le parchemin, y jeta un bref regard et commenta avec froideur:
-Je vous avais demandé un paragraphe sur la stupidité de l'attitude qui consiste à s'apitoyer sur des souris d'expérience... Je vous laisse encore une demi-heure pour le rédiger.
Sans prendre le temps d'écouter la réponse, il ressortit, emportant le parchemin...

Bien qu'elle restait calme Angélique n'avait qu'une envie sauté a la gorge du professeur pour imité Jack l'éventrereur, mais sa raison et la douleur de sa main l'obligea a renonncer a ce projet prennent une autre feuille Angélique se remit a travail.

Il est stupide de s'apitoiyer sur le sort d'animaux telle que sourie car se sont des être sans défence et d'aucune valeur magique, ses animaux ne sont que des proie, ses animaux la ne portent en eux aucun sentiment et ne son pas utilse a la magie noir comme les serpent, les loup etc....

Finissant sa main était completement taillader, prennent un mouchoir elle s'enveloppa la main.

Elizabeth arriva devant la salle de retenue et laissa Tom la précéder. Elle était restée silencieuse et semblait ruminer quelque chose. Elle entra dans la salle de retenue à la suite du professeur de botanique et croisa les bras en toisant Angélique, ne prêtant aucune attention à sa main ensanglantée. Son visage reflétait simplement une colère froide. Elle attendit que Tom consulte le travail qu'avait ajouté Angélique.

Tom avança, prit le parchemin et y jeta un coup d'oeil, puis il alla le porter à Lizbeth.
-Que de concision, n'est-ce pas, Professeur Selew?... Miss Black ne semble pas avoir grand-chose à dire sur le sujet. Moins que sur le précédent, en tout cas...
Il regarda Angélique puis se tourna vers Lizbeth pour observer sa réaction. Elle semblait sur le point de réduire l'élève en bouillie. Tom eut un geste de Ponce Pilate et dit à Angélique:
-Cette affaire est désormais entre les mains de votre directrice de maison. moi, je m'en lave les mains.

Elizabeth regarda le nouveau parchemin que lui montrait Tom et son visage déjà fermé se tendit. Une lueur de mépris passa sur son visage. D'un geste brusque elle s'avança vers la table où se trouvait Angélique et balaya du revers de la main la plume et le parchemin qui se trouvaient dessus. Elle s'appuya des deux mains sur la table, regardant fixement Angélique, avec dans les yeux une lueur qui ne lui laisserait sans doute pas beaucoup de doute sur ce qu'elle pensait de son travail. Elle s'adressa alors à elle d'une voix forte et cassante.

-Vous vous croyez ici pour quoi exactement mademoiselle Black ? Pour passer le temps ? Certes pendant que vous êtes en retenue, vous libérez au moins vos professeurs de votre présence pesante, mais combien de temps exactement pensez-vous que nous allons vous laisser jouer ce petit jeu ? Vous aviez un travail à faire il me semble non ? Croyez-moi vous allez le faire ! Et réellement. Dussiez-vous passer le reste de vos jours dans cette salle.

Elle quitta la table et croisa à nouveau les bras en toisant Angélique. Dun geste de la tête, elle lui indiqua les parchemins et la plume qu'elle avait jetés à terre.

-Ramassez-cela et reprenez votre place à cette table.

Elizabeth suivit Angélique du regard, une expression de mépris sur le visage, jusqu'à ce qu'elle soit revenue à sa table. Lorsqu'elle fut assise, elle fit alors apparaître devant elle, d'un geste de sa baguette, une livre peu épais.

-Puisque vous connaissez ce texte par coeur et que vous semblez l'apprécier, vous allez sans aucun doute pouvoir m'en faire un résumé. Je veux un résumé d'une phrase ou deux phrase par paragraphe. Et prenez garde à ce que je ne puisse pas retrouver la moindre trace de mot à mot. Nous verrons ensuite si des éléments de ceci peuvent répondre au devoir que vous avait donné le professeur Joad et que vous auriez gagné à faire directement.

Elle se retourna vers le mur qui se trouvait face à Angélique et d'un mouvement de sa baguette, elle découvrit les deux yeux noirs qui occupaient tout le pan de la salle. Elle regarda à nouveau Angélique avec une expression mauvaise, et ajouta quelques mots d'une voix sourde et sifflante.

-Et ne vous avisez pas de lever le nez de ce travail. Comptez sur moi pour surveiller tous vos gestes.

Elle se retourna et sortit de la salle, laissant le professeur Joad fermer la porte derrière elle.

hj : au cas où tu n'aies plus la référence exacte, voici l'adresse du lien du texte à résumer.
http://www.tact.fse.ulaval.ca/cdrom/PHASES/PHASE6/DOC/COM_AP.HTM

Sans un regard pour Angélique, Tom sortit derrière Liz et verrouilla la porte d'un mouvement de baguette. Il rattrapa Lizbeth qui semblait toujours aussi furieuse, et lui dit:
-Je vous remercie de votre intervention, Professeur.... Espérons qu'à nous deux, nous obtiendrons davantage que moi seul (il avait dit ces mots d'une voix peu convaincue). Avez-vous encore besoin de mes services, Professeur Selew? J'imagine que vous avez autre chose à faire que surveiller en permanence cette élève insolente...

Elizabeth retrouvait peu à peu une expression plus habituelle. Elle répondit à Tom d'une voix calme.

-Nous obtiendrons ce que nous voulons professeur Joad n'en doutez pas. Je suis certaine que mademoiselle Black a maintenant compris qu'elle ne sortirait pas de là avant de m'avoir donné très exactement ce que je lui demandais, et cette fois-ci, sans chercher des moyens détournés de s'épargner du travail et de la peine.

Ils avançaient lentement dans le couloir, progressant vers les bureaux.

-Le dispositif de surveillance permanente que j'ai activé donne directement dans mon bureau et dans celui du Seigneur des Ténèbres lorsqu'Il le désire. Il ne me sera donc pas difficile d'avoir l'oeil en continu sur cette élève pénible, et cela, sans avoir à quitter le travail que j'ai encore à faire. Je vous libère donc de sa surveillance et je me charge de la suite de tout ceci professeur Joad. Je vous enverrai mademoiselle Black lorsqu'elle aura proposé une dissertation que j'estimerai digne de ce nom.

-Très bien, Professeur. Je vous laisse prendre les choses en main avec votre énergie coutumière...
Il sourit à Lizbeth, d'un air complice qui voulait dire "votre énergie qui risque de laisser des traces sur cette élève"...
-J'ai moi-même du travail, sans devoir passer mon temps à materner les élèves en retenue. Je vous remercie de me décharger de ce travail. Si vous avez besoin de moi, je suis à votre disposition. Je serai dans mon bureau. Je vous raccompagne?
Il fit signe vers le couloir qui menait aux bureaux des enseignants, où ils se rendaient tous deux.

Elizabeth inclina légèrement la tête en signe d'assentiment et parcourut en sa compagnie la distance qui les séparait de leur bureau.

-Rien de plus naturel professeur Joad puisque j'ai le triste privilège d'avoir dans ma maison cette élève qui ne manque jamais une occasion de se faire remarquer. Mais qui sait, peut-être viendra un temps où nous aurons l'autorisation de nous "décharger" de manière plus radicale de la peine qu'elle nous donne.

Le visage d'Elizabeth refleta un instant les idées qui lui venaient à l'esprit.

Tom eut un sourire mauvais, un sourire qui ressemblait davantage à un rictus, et il approuva chaudement les propos de Lizbeth:
-Vous avez raison, Professeur, il faudrait mettre en oeuvre des solutions plus radicales... Avec certains cas désespérés, ce serait la seule issue.
Il lui adressa un regard signifiant qu'elle pouvait compter sur lui pour ces solutions radicales, et ajouta avant de regagner son bureau:
-Je vous souhaite bon courage, Professeur Selew, et je vous répète que je suis à votre disposition.

Elizabeth lui adressa un signe de la tête avant d'entrer dans son propre bureau qu'elle deverrouilla.

-Merci professeur Joad. Je n'hésiterai pas à faire appel à vous.

Elle entra et posa immédiatement le regard sur la salle de retenue qui apparaissait sur le mur situé juste en face de sa table de travail. Elle observa alors l'élève consignée.

Poussant un soupire Angélique regarda les deux professeurs mais ne laissa aucune émotion transparaître sur son visage, repoussant les mèches de ses cheveux qui lui tombait devant les yeux elle commença a écrire de nouveau malgré la douleur qui lui tirades la main.

Les mots "communauté" et "apprentissage" sont de vieux mots pleins de sens de la langue française, mais ils ne se sont pas rencontrés souvent. Depuis des siècles, chacun a acquis son suc à travers ses propres expériences avec la réalité. C'est une conjoncture toute récente, influencée par les résultats de recherches scientifiques et divers courants sociaux, qui les a amenés à faire plus ample connaissance

La communauté et l’apprentissage font partie de ce qu’ont appelle la soumission aveugle envers ses aîners. On parle de communauté si elle comprend plusieurs équipes ou groupes qui échangent entre eux sur les résultats de leur travail. En outre, la dynamique même d'une communauté d'apprentissage appelle, quasi nécessairement, à un stade ou l'autre de son évolution, un contact avec d'autres communautés similaires.

Le professeur est associé à une communauté d'apprentissage composée avant tout d'élèves assume une responsabilité propre à l'intérieur de cette communauté, mais il est aussi lui-même, en toute fidélité avec sa pratique professionnelle, en état d'apprentissage. Ce que chaque membre de ce personnel vit comme expérience professionnelle et se pose comme interrogations à son sujet appelle le partage et une recherche de solution avec des collègues, des gestionnaires, des parents et, éventuellement, d'autres personnes

L’attention envers un professeur, i'indice le plus significatif qu'un groupe de personnes ou, selon la distinction classique du sociologue allemand Ferdinand Tönnies, une "société" ("gesellschaft") est ou devient une "communauté" ("gemeinschaft"), c'est que les personnes qui le composent manifestent de l'attention les unes pour les autres. Dans un groupe où existe un sens communautaire, chaque personne ne prend pas seulement acte de la présence de l'autre; elle est également consciente de son individualité. Chaque membre du groupe a, au sens fort du terme, "un nom".
Avant de caractériser davantage le genre d'attention que l'on s'attend à trouver dans une communauté dite d'apprentissage, il n'est pas sans importance de réaliser qu'une telle entité n'est pas une communauté au même titre qu'une communauté familiale, de voisinage ou de travail. De toute évidence, elle se situe à un autre niveau, car chacune de ces communautés peut, ou non, avoir comme objectif l'apprentissage de ses membres. Ainsi, dans une communauté familiale ou une communauté de travail, même scolaire, il peut exister des liens très forts entre les personnes qui en font partie, sans que, pour autant, une démarche centrée sur l'apprentissage fasse l'objet d'une préoccupation commune.
Nous avons des objectif a attendre

Dans une communauté d'apprentissage, on est attentif aux besoins des élèves à la fois en tant que personnes et en tant qu'apprenants.
b) Tous les élèves ont de multiples occasions de montrer qu'ils sont attentifs à leur propre développement (comme personne et comme apprenant), aux besoins et à la contribution de leurs camarades et aux buts pour lesquels la communauté elle-même existe.
c) On attend quelque chose de chacun et les attentes que l'on a les uns vis-à-vis des autres sont élevées. Si, par exemple, un élève se tient en retrait ou participe peu, on lui accorde une attention particulière (en lui adressant plus souvent la parole, en valorisant son apport, en cherchant à tenir davantage compte de ses intérêts, etc.).
d) On est attentif aux acquis de l'autre, mais aussi à son rythme et à ses difficultés d'apprentissage. On devient sans cesse davantage capable de saisir et d'apprécier ce qu'il y a de différent chez les autres.
e) On attend de l'enseignant ou de l'enseignante qui anime une communauté d'apprentissage qu'il ou elle accorde une attention exemplaire à chacun des élèves, toujours considéré en tant que personne et en tant qu'apprenant

Finissant d’écrire Angélique attendit que les deux professeurs reviennent.

http://www.tact.fse.ulaval.ca/fr/html/prj-7.1/commune2.html
Tu es sûre de vouloir remettre ça ?

Dans "résumé du texte" qu'est-ce qui t'échappe exactement Angélique ?

Poussant un soupire Angélique regarda les deux professeurs mais ne laissa aucune émotion transparaître sur son visage, repoussant les mèches de ses cheveux qui lui tombait devant les yeux elle commença a écrire de nouveau malgré la douleur qui lui tirades la main

La communauté d’apprentissage est basée sur l’attention et la concentration des jeunes, elle apparaît vers quatre à cinq ans et s’amplifie normalement jusqu'à l’âge de dix-sept ans qu’il s’agisse d’une fille ou d’un garçon qui est enseigné par un adulte telle que parents ou professeur.

Bien sur se contacte doit être partager, ont la trouve le plus souvent dans des groupes, (plusieurs élèves et un ou plusieurs professeurs) qui échanges transmettre leur idées et leur projets, que ce soit des question des idées, des solutions sont échanger entre un professeur et ses élèves. Garce à cet échange les connaissances l’habileté et l’attitude sont renforcées.

La vision retenue au point de départ et, par la suite, constamment vue et revue doit avoir comme base des valeurs et des principes clair, elle permet aussi de voir les différents problèmes sous tous les angles.

Ce qui permet faire lors de la finalité la vision de la communauté, auront été associés aux décisions qui la touchent et seront considérés comme des participantes et des participants à la fois différents et égaux, (professeur et élève) plus le temps et la patience pour mener a bien le projet jusqu’au bout

On reconnaît aussi je sujet de métaphore qui est de nature à métamorphoser aussi bien la vie quotidienne de l'école que l'école dans sa globalité, de même que la relation au savoir de toutes les personnes qui font partie du système scolaire

La volonté d’apprendre se manifeste par le silence et l’obéissance, car il se présente comme respect et soumission envers les professeurs, ainsi les idées et l’enseignement ce forge plus rapidement.

Quand elle eu fini elle reposa sa plume

Elizabeth leva les yeux de son travail et constata qu'Angélique avait reposé sa plume. Elle sortit et transplana devant la salle de retenue dont elle ouvrit la porte. Elle s'avança silencieusement vers Angélique, prit le parchemin et le parcourut des yeux.

-Le texte comporte 12 paragraphes et je n'en compte que 6 dans votre résumé. Je vous l'ai dit, je veux un résumé paragraphe par paragraphe. Recommencez mademoiselle Black.

Elle lui rendit le parchemin, ressortit de la salle en verrouillant la porte derrière elle, et transplana à nouveau pour rejoindre son bureau.