Miss Tei Invité
| Sujet: Hibou pour Matthews Sorrow Jeu 27 Avr - 10:44 | |
| Une lettre est arrivée pour Matthews Sorrow. Comme toujours, elle a été décachettée et lue. |
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Matthews Invité
| Sujet: Re: Hibou pour Matthews Sorrow Jeu 27 Avr - 11:24 | |
| Matthews avait été informé par une élève Voldor qu'il avait reçu une lettre. Il espérait que ce soit la réponse de sa mère. Il courut jusqu'à la volière. Il entra, celle-si était vide. Seuls les hiboux piaillaient comme à leurs habitudes. Des plumes volaient et même deux hiboux se battaient. Il les laissa se battre et passa à côté d'eux. Il vit sa lettre où était marqué: - Citation :
- Matthews Sorrow, Poudlard.
Il sortit la lettre de l'enveloppe déjà ouverte par les bons soins des professeurs. Là il vit que ce n'était pas l'écriture de sa mère et il en fut surpris. Il put lire: - Citation :
- Cher Matthews, j'ai une nouvelle des plus accablantes à t'annoncer.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ta mère a été assassinée. Dès que j'en ai été informé, je t'ai tout de suite écrit. Des Auror ont fait une enquête et ont trouvé le coupable: son mari, un Mangemort. Oui tu me diras, pourquoi celui-ci n'a pas tué ta mère directement? Je ne le sais pas. Nous n'avons toujours pas retrouvé sa trace. Je suis désolé Matthews. Tu pourras t'installer à la maison, tu es le bienvenu. Gros baisers.
Ta tante Herma. Matthews ne put contenir ses larmes...et ses cris. Des larmes chaudes dévalèrent la pente de ses joues à une vitesse incroyable. Elles ne s'arrêtaient pas de couler. Il avait la haine contre cet ordure de "père" Mangemort. Il hurla et s'agenouilla. Les hiboux sursautèrent et volèrent un peu partout dans la volière. Ceux qui se battaient s'étaient lâchés, affolés par le cri surhumain de cet élève plutôt excentrique à leur goût. Il se leva d'un bond, les yeux rouges de colères et de profonde tristesse. Il se dirigea vers la porte mais trébucha. Il se cogna contre la porte et son nez se mit à saigner. Il insulta quelqu'un qui n'existait pas et se releva. Des gouttes de sang coulaient. Cela lui était égal. Il ouvrit la porte et la referma en la claquant. Il tenait sa lettre dans sa main droite et sa baguette sortie dans sa main gauche. Le premier qui venait à l'embêter passerait un sal quart d'heure. Sa robe volait à l'allure à laquelle il marchait. C'est à dire rapidement. Pour le moment, la colère prédominait et dans ces cas là, il vallait mieux le laisser seul. |
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