Convocation d'Helena Ramirez

Helena écouta les moqueries du professeur. Elle n'en avait strictement rien à faire de tout ces blablas. Quand elle lui annoça le devoir qu'elle avait à faire, Helena ne put se retenir de hausser le ton.

Ma vie m'appartient et elle n'appartient qu'à moi seule!

Son expression avait legerement changer, laissant apparaitre sa colère.

Elizabeth la regarda avec une lueur de satisfaction dans le regard.
-Comme le masque est tombé mademoiselle Ramirez. C'est toujours un moment intéressant que celui où les gens ne peuvent s'empêcher d'exposer au grand jour ce qui les blesse et les touche.
Elle sentait monter la colère dans l'esprit de la jeune fille, les images affluèrent, montrant ce qu'Helena aurait aimé, à ce moment là, dire et faire. Elizabeth continuait de parler.
-Vous pensez que votre vie vous appartient, mais vous êtes le jouet des désirs de vos parents, le jouet de valeurs que l'on vous a inculquées depuis votre plus tendre enfance. Votre vie est à peine la vôtre mademoiselle Ramirez.

En l'entendant parler ainsi de ses parent, Helena perdit totalement le contrôle de sa colère.

Je vous interdit de paler ainsi de mes parents! Une chose est sûre mes parents ont bien plus de valeur que vous!

Helena se doutait bien qu'elle n'aurait peu être pas dû s'emporter. Mais la colère qui l'envahissait était trop forte.

Elizabeth ne haussa pas la voix et continua sur le même ton calme mais sec.
-Décidément vous voilà tout à fait intégrée aux Voldor puisque vous en avez même désormais l'insolence. J'enlève donc 5 points à votre maison pour cette remarque déplacée. Maintenant, nous pourrions peut-être mettre un terme à cet entretien qui devient inutile. Encore faudrait-il cependant que vous ayiez compris en quoi consiste le travail que je vousai demandé de faire.

Désolé mais je refuse! Ma vie m'appartient je vous l'ai déjà dit. Et je n'irais pas écrire quelconques sornettes seulement pour vous faire plaisir!

Helena s'était laissé envahir par la colère les mots de Lizbeth l'enrageant de plus en plus. Elle se rendit compte un peu tard qu'elle avait peu être fait une erreur en disant ça mais la colère était telle qu'elle ne pouvait s'en empécher.

La voix sèche d'Elizabeth devint cassante.
-Je ne vous demande pas votre avis mademoiselle Ramirez. Je ne vous demande pas si vous voulez bien faire ce travail, mais je vous dis de le faire. Et vous le ferez, dussiez-vous rester enfermée dans la salle de retenue le restant de votre misérable existence. Sortez d'ici. Nous allons en salle de retenue.

Helena n'en pouvait plus elle devenait folle de rage.

Faire ce devoir signifierai autoumatiquement mentir. Je ne peux pas vous expliquer en quoi ma vie ne m'appartient pas puisque elle m'appartient à moi et à moi seule et j'en fait ce que je veux.

*Calme toi tu vas finir par t'attirer des ennuis!*

La voix d'Elizabeth claqua cette fois-ci violemment.
-Je ne vous ai pas demander de discuter. Je vous ai demander de sortir.
Elle lança sur Helena un sortilège informulé. L'élève se retrouva prisonnière de liens solides. Elizabeth poursuivit d'une voix sifflante.
-Allez-vous avancer ou faut-il que je vous fasse léviter jusque là-bas, au risque de vous démontrer à quel point vous n'êtes pas maître de vos mouvements ?

Allez vous faire voir...

Le sang bouillonait dans ses veines. Elle était folle de rage et n'arrivais absolument plus à controler ses sentiments. Cette sensation s'accentua encore plus quand le professeur lui lança le sort. Helena était du genre horriblement tétu et à ne pas ceder. Un très gros défault sans doute.

Le regard d'Elizabeth se durcit. Elle pointa à nouveau sa baguette sur Helena-Endoloris.
Et elle contempla les effet du sortilège et releva sa baguette au bout d'un moment.
-Vous venez de transformer un simple devoir en une longue et douloureuse retenue mademoiselle Ramirez.
Et avant que l'élève ait pu répliquer, elle lui appliqua le sortilège de Silencio et commença à la faire léviter sans ménagement jusqu'à la salle de retenue.

hj : je prépare un topic là-bas.